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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

Bree, devenu transsexuel, travaille jour et nuit afin d'avoir assez d'argent pour payer une intervention chirurgicale qui fera définitivement de lui une femme. Un jour, elle reçoit un appel téléphonique d'un adolescent en fuite qui recherche son père. Elle comprend avec effarement qu'il est le résultat d'une liaison hétérosexuelle sans lendemain qui a eu lieu alors qu'elle était encore un homme...

Avis: film divertissant mais sans fond...de plus ce n'est pas un vrai transsexuel.

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

 

Date de sortie : 15 Octobre 2003   

Réalisé par Bertrand Bonello

Film français, canadien. 

Genre : Drame

Durée : 1h 55min. 

Année de production : 2002

Interdit aux moins de 16 ans

Distribué par Haut et Court

Tiresia, un transsexuel brésilien d'une grande beauté, vit clandestinement avec son frère dans la périphérie parisienne. Terranova, un esthète à la pensée poétique, l'assimile à la rose parfaite et la séquestre pour qu'elle soit sienne.
Peu à peu, privée d'hormones, Tiresia va devant ses yeux se transformer : la barbe qui pousse, la voix qui change... Dégoûté de ce qu'est devenue sa Tiresia, Terranova va l'aveugler et la jeter à l'orée d'une banlieue voisine.
Tiresia est recueillie dans un piètre état par Anna, une jeune fille un peu simple, qui prend soin d'elle. C'est alors qu'apparaissent chez le transsexuel des dons de prédiction...

Avis: J'ai adoré...non pas parce que c'est un peu provocant et parfois trés violent mais simplement parce que l'onse laisse facilement prendre par l'histoire transposé à notre époque du mythe de Tiresia...Le jeu des acteurs, la réalisation la photo et la musique font de ce film un petit chef d'oeuvre.

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

Date de sortie : 14 Avril 2004   

Réalisé par Sébastien Lifshitz

Film français, belge. 

Genre : Drame

Durée : 1h 33min. 

Année de production : 2003

Titre original : Wild Side

La rencontre d'un trio de marginaux, composé d'un émigré russe, d'une transsexuelle et d'un jeune Maghrébin, dans le Paris contemporain, et l'amour qui naît entre eux. Leur alliance sera d'autant plus forte qu'elle se déroulera sur fond de clandestinité et de mort.

Avis: Film un peu typé et prévisible mais trés bien réalisé, j'ai beaucoup aimé pour un "film d'auteur"...serieusement il est super.

 

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

 Selon le sage, la fellation parfaite compte pas moins de 8 étapes…

- l’inauguration : la main saisit la verge et les lèvres ouvertes la frôlent
- le mordillage : les baisers et les dents (attention pas trop fort !!!) courent le long de la verge, la main couvre le gland
- la pression extérieure : les lèvres remontent sur le gland et aspirent légèrement
- la pression intérieure : les lèvres descendent, gardant la verge entre elles et commencent le mouvement de va-et-vient.
- Le baiser : la verge dans la main, les lèvres embrassent l’extrémité du gland comme une lèvre inférieure, par petites succions
- La langue habile : la langue lèche la verge sur toute sa surface en insistant sur le gland tandis que la main fait les mouvements de va-et-vient
- La succion de la mangue : la bouche aspire la moitié de la verge et la serre très fort
- La promesse : la bouche avale la verge en descendant le plus bas possible et le va-et-vient va et vient jusqu’à l’orgasme.

Facultatif : selon les goût et la sensibilité du garçon mais aussi la position allongée ou debout, Vâtsyâyana propose d’agrémenter la fellation de différentes caresses : bourses, intérieur des cuisses, fesses et ventre.

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

 

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

 

1. Les transsexuels sont-ils des homosexuels refoulés ?

Non, les transsexuels ne sont pas des homosexuels refoulés. L'homosexualité implique une attirance pour les individus du même sexe alors que la transsexualité relève de l'identité de genre. Une personne transsexuelle, par exemple une MTF (homme devenant femme) peut avoir pour partenaire aussi bien un homme, qu'une femme.

2. Quelle est la différence entre un transsexuel et un travesti ?

Un travesti est une personne qui éprouve le besoin de s'habiller avec les vêtements du sexe opposé sans faire appel à des modifications corporelles. Une personne transsexuelle a la nécessité de vivre dans l'identité revendiquée, ce qui implique la plupart du temps une hormonothérapie et des interventions chirurgicales. Pour cette dernière, la modification de l'état civil est également indispensable à l'insertion sociale.

3. Est-il possible d'être à la fois transsexuel et homosexuel ?

Une personne transsexuelle peut être homosexuelle, comme elle peut être hétérosexuelle ou bisexuelle. L'attirance sexuelle n'est pas liée au fait que la personne soit transsexuelle ou non. La transsexualité relève de l' identité de genre, l'homosexualité de l'attirance sexuelle.

4. Est ce que la transsexualité est une maladie ?

Il y a encore peu de temps, la transsexualité était assimilée à l'homosexualité, elle-même longtemps considérée comme une perversion ou encore confondue avec le travestisme. Pourtant le transsexualisme s'en différencie fondamentalement. La démarche du transsexuel se place sur le plan de l'identité de genre (c'est à dire le sentiment d'appartenir à un sexe donné) à savoir qu'il revendique l'identité contraire à son sexe anatomique. Quand à l'homosexuel et au travesti, leur anatomie est en harmonie avec leur identité. En résumé, la transsexualité n'est pas une forme de sexualité.

Pour la sous-commission des droits de l'homme de l'ONU, Les transsexuels font partie des minorités sexuelles tout comme les homosexuels. La transsexualité est actuellement classée par l'OMS parmi les maladies mentales sous le n°305-2 dans la catégorie " déviations et désordres sexuels ". Elle est donc considérée comme une " maladie ". Si les transsexuels admettent cette nomenclature, que rien ne justifie, c'est afin d'accéder aux traitements médicaux nécessaires. De toutes les théories proposées sur le sujet aucune ne paraît jusqu'à ce jour assez satisfaisante pour expliquer ce qui demeure une énigme. Problème psychologique, génétique, hormonal, la question reste posée.

Outre-Atlantique, certains médecins, juristes et activistes perçoivent le transsexualisme comme un état inhérent à la personne, et appellent à une démédicalisation du problème, alors qu'Europe, il est perçu comme un syndrome relevant de ce fait d'un traitement chirurgical.

En définitif, peut-on parler de maladie ? Aucune anomalie n'a été constatée au niveau chromosomique, gonadique ou hormonal. Bien que de récentes recherches aient apporté un nouveau regard sur la question. Une maladie mentale ? Certaines théories développées par des psychanalystes ont présenté les transsexuels comme des pervers, des psychotiques ou des délirants, mais ont vite été balayées devant leur manque de rigueur scientifique. D'ailleurs, les personnes transsexuelles ont une vie sociale, professionnelle et des activités intellectuelles comme tout un chacun.
Ce qui est certain c'est que le transsexuel vit la discordance dont il est victime comme un véritable handicap physique.

5. Les transsexuels se sentent-ils complètement homme ou femme ?

On peut présumer que c'est le cas, cependant cela dépend du stade opératoire, de la qualité des interventions chirurgicales, de l'obtention des papiers d'état civil ainsi que de l'aspect général de la personne. Par exemple : certaines transsexuelles se revendiquent femme à part entière et ce même avant les opérations, d'autres considèrent qu'elles ne seront jamais complètement des femmes. C'est une question personnelle. Dans un contexte plus philosophique, tout un chacun est construit biologiquement et socialement de parts masculines et féminines. La différenciation des sexes ne saurait occulter entièrement les éléments du sexe opposé que nous portons tous en nous.

6. On parle de iatrogénie, y croyez-vous ?

La médecine et les solutions qu'elle apporte n'ont pas créé le transsexualisme. On retrouve dans l'histoire des personnages qui rejetaient leur sexe biologique alors que la médecine ne pouvait pas y apporter de réponses. Aussi il semble difficile de croire à cette perception. La problématique transsexuelle semble reposer sur d'autres éléments qui, certes, sont encore bien obscurs. Néanmoins les spécialistes de nombreux pays évoquent plus des facteurs hormonaux, voire génétiques conjugués à des facteurs psychologiques.

7. Est-ce que le nombre de demandes de transsexuels augmente après une émission télévisée ?

Oui, en raison de la difficulté pour les personnes concernées à trouver l'information et du fait également que le média le plus important s'avère être la télévision. Cependant on ne peut dire que la demande augmente, on peut parler d'une demande qui ainsi est canalisée. De plus, nombre de personnes sont dans un malaise sans pour autant mettre un nom sur leur problème, la télévision leur apporte cette connaissance et l'espoir d'une solution.

8. Quel est le taux de suicide chez les transsexuel/les ?

Nous ne possédons pas de statistiques pour la France. Toutefois nous avons pu constater à travers notre travail - et confirmé par plusieurs études - que le nombre de suicides diminue après les interventions chirurgicales. Il apparaît que le nombre de suicides est plus élevé chez les personnes qui n'ont pas encore entrepris de démarche, que ce fait est lié aux conditions d'acceptation dans la famille, au travail, et dans les relations avec le corps médical. On notera également que quelques personnes ont attenté à leur vie suite à des refus de changement d'état civil.

9. Qu'est ce qu'un transsexuel - primaire - secondaire ?

Par primaire ou secondaire, le corps médical français a institué les limites de la prise en charge pour transsexualisme, les primaires étant considérés comme les « vrais » et les secondaires comme les « faux ». Si la personne est mariée, a des enfants, a un certain âge, elle sera considérée comme étant transsexuelle secondaire ; ce qui il y a encore peu de temps sous-entendait un refus du corps médical pour une transformation. Si l'utilisation de ces catégories s'est assouplie avec le temps, celles-ci n'en restent pas moins marquantes. Bon nombre de transsexuel/les s'inquiète d'être dans la mauvaise colonne. La différence entre les deux est liée au vécu de l'individu quand il prend contact avec le corps médical. Ces deux catégories distinctes ont de moins en moins cours dans les pays étrangers. Cela reste une habitude française bien restrictive, et sans aucun fondement scientifique

10. La transsexualité se soigne-t-elle ?

Bien que la transsexualité ne soit pas une maladie, de nombreuses expériences ont été tentées : électrochocs, lobotomies, traitements virilisant pour les transsexuelles à vocation féminine, internements psychiatriques, traitements en tout genre. rien n'y fait, du moins jusqu'à présent.
Finalement la seule réponse qui ne soit pas une torture reste la transformation.

11. Qui consulter en cas de transsexualisme ?

Dans un premier temps, nous conseillons de contacter une association. Le fait d'être seul, rend la transition plus difficile. Les associations peuvent vous expliquer quelles sont les démarches à entreprendre.

12. Suis-je responsable de la transsexualité de mon enfant ?

Les parents ne sont aucunement responsables et ne doivent surtout pas culpabiliser même si certaines théories les incriminent. Rappelons que dans le cas de l'autisme, la mère a longtemps été accusée d'être responsable du handicap de son enfant. Cette théorie a été réfutée suite à de récentes découvertes scientifiques.

13. Quelle aide puiS je apporter à mon enfant ?

Rester proche, ne pas le rejeter sont les attitudes qui apportent le plus grand soutien. Vous pouvez l'aider dans ses démarches, sans pour autant chercher à l'influencer d'une quelconque façon.

14. Je veux que mon enfant reste tel qu'il est né, que faire ?

Vouloir que votre enfant reste tel qu'il est né reviendrait à se battre contre sa nature. Toutes les thérapies, qui peuvent être proposées, échouent et peuvent fortement le perturber. Il est plutôt conseillé de prendre contact avec une association ou un professionnel pour en discuter.

15. Y a-t-il un risque pour notre enfant qui est transsexuel de se prostituer ?

Lorsque la personne est isolée (rejet par la famille, perte d'un emploi) un processus de marginalisation peut s'enclencher ce qui pourrait conduire à la prostitution. Un soutien familial reste la meilleure prévention.

16. Est ce que les opérations sont prises en charge par la sécurité sociale (française) ?

Suite à des accords entre la sécurité sociale, le Conseil de l'Ordre des Médecins et le milieu hospitalier, les personnes transsexuelles peuvent être prises en charge pour leurs opérations. Par contre, elles ne peuvent généralement pas choisir le chirurgien et la technique opératoire.

17. Les opérations sont-elles irréversibles ?

Les interventions chirurgicales telles que mastectomie, hystérectomie, vaginoplastie et phalloplastie ne sont pas réversibles (liste non exhaustive).
Il n'y a donc pas de retour possible à l'état antérieur.

18. Combien de temps dure le traitement hormonal ?

Le traitement hormonal est à prendre à vie. Après les opérations chirurgicales génitales, les personnes qui arrêteraient ces traitements s' exposent à certains risques (ex : ostéoporose, dégénérescence cérébrale) et des désagréments (bouffées de chaleur). Les hormones sont nécessaires au bon fonctionnement de l'organisme.

19. Les transsexuels peuvent-ils se marier après le changement d'état civil ?

Une fois le changement d'état civil obtenu, le transsexuel peut se marier avec une personne du sexe opposé. Néanmoins le débat reste d'actualité, certains juristes s'interrogent " Faut-il priver les transsexuels du droit de se marier " (J. Hauser, RTD civ., 1993, n°2, p.325). D'autres rétorquent que leur refuser ce droit " serait une position peu tenable, tant ce serait attenter à une liberté fondamentale " (M. Gobert, rapport établi pour le colloque génétique, procréation et droit, 18-19 janvier 1983, Actes Sud, éd. Hubert Nyssen, p. 176). Génétiquement parlant, malgré les opérations subies, le transsexuel ne change pas de sexe chromosomique. De ce fait, pour certains auteurs il n'y a pas de véritable changement de sexe ce qui les amènent à prendre position contre le droit au mariage. Il y a eu des cas de parents qui ont fait appel auprès des Tribunaux pour s'opposer au mariage de leur enfant avec une personne transsexuelle, les procédures n'ont pas abouti.

20. Où s'adresser pour le changement d'état civil ?

Pour procéder à une demande de changement d'état civil, il faut dans un premier temps faire appel à un avocat. Celui-ci déposera une assignation ou une requête auprès du tribunal de grande instance du domicile ou du lieu de naissance.

21. Y a-t-il des tribunaux qui refusent ?

Certains tribunaux rejettent les demandes des personnes TS à l'exemple de celui d'Aix-en-Provence. Cela dépend également de la nature du dossier, du nombre des pièces présentées et de leur qualité (certificats médicaux).

22. Quels sont les opérations chirurgicales nécessaires pour le changement d'état civil ?

Pour une personne MTF, il est nécessaire d'avoir effectué une vaginoplastie ; pour les FTM, la mastectomie et l'hystérectomie sont requises. La condition sine qua non pour accéder au changement d'état civil est la stérilité.

23. Le changement d'état civil prend-il beaucoup de temps ?

Ceci est variable et dépend des tribunaux. Certains sont surchargés, d'autres réclament des expertises qui prolongent la procédure. On peut estimer que la durée se situe généralement entre 12 et 24 mois.

24. Faut-il avoir un avocat ? Combien ça coûte ?

Oui, un avocat est nécessaire. C'est lui qui plaidera devant les magistrats. Les honoraires d'un avocat varient entre 6 000 et 15 000 fr. ht.

25. Peut on changer de prénom avant la modification de la mention du sexe ?

Il est possible de changer de prénom en faisant une demande auprès du JAF (Juge des Affaires Familiales). Néanmoins, le choix du prénom est généralement restreint aux quelques prénoms mixtes. Dominique, Stéphane, Claude, Camille sont les plus courants. Certaines personnes arrivent à obtenir le prénom souhaité (non-mixte).

26. Y a-t-il des transsexuel/les célèbres ?

Christine Jorgensen est incontestablement la première transsexuelle connue. Son opération chirurgicale, effectuée en 1952 au Danemark, et révélée à son insu par un journal grand public, le Daily News, la propulsa sur le devant de la scène bien malgré elle.
En France, on pensera en premier à Coccinelle qui dans les années soixante fit grand bruit en se mariant à l'Eglise. Elle fut une célébrité en tant que tête d'affiche au "Carroussel", fameux cabaret parisien, elle fut également meneuse de revue au Lido, à l'Olympia et comédienne au cinéma. Elle a publié en 1987 un livre intitulé "Coccinelle".
Puis on songera à Maud Marin qui dans les années 80 dénonçait les conditions d'existence des prostituées. Elle-même prostituée, elle publiera un livre qui reste dans les mémoires " le saut de l'ange ". Elle rencontrera de nombreuses difficultés dans sa carrière d'avocate, se trouvant radiée du barreau puis réintégrée.
Au niveau international, Renée Richards célèbre joueuse de tennis, fut l'héroïne d'un film autobiographique intitulé "le choix".
On pensera également à Carolyn Cossey, ex-James Bond Girl au côté de Roger Moore, comédienne et top-model britannique qui s'est battue pour pouvoir se marier et n'a pas obtenu gain de cause devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Plus récemment, Bibi Andersen, une des comédiennes fétiche de Pedro Almodovar. Et bien sûr qui n'a pas entendu parler de Dana International, dernière icône transsexuelle, chanteuse qui gagna le prix de l'Eurovision le 9 mai 1998 en représentant Israël.

27. Le transsexualisme a-t-il existé à toutes les époques ?

Oui mais les solutions chirurgicales et hormonales n'existant pas jusqu'au début du XXème siècle, le travestisme était la seule alternative.

28. Qui sont les pionniers en matière de suivi des TS ?

On pourra citer Magnus Hirshfeld, un médecin sexologue allemand, comme le Pionnier ayant travaillé sur ces questions sans a priori. Puis on nommera Harry Benjamin qui a écrit le premier livre destiné au grand public sur la question, « The Transsexual Phenomenon » en 1966. De nos jours, le Pr Louis Gooren, fait référence. Il est le premier médecin à obtenir une chaire universitaire de transsexualisme.

29. Y a t-il en France une loi concernant les transsexuels ?

Le Sénateur Caillavet avait présenté deux projets de loi en 1981 et en 1982 qui furent tous deux rejetés. Le Conseil de l'Ordre des Médecins a rédigé dans le Code de Déontologie un article particulier concernant la question transsexuelle, l'article 41, qui indique les modalités de prise en charge médicale. Le Code de la Sécurité Sociale a également établi un protocole pour sa prise en charge. Le corps médical s'est vu empêcher d'effectuer de nombreuses opérations (pas seulement dans le cadre des transsexuels) à cause du Code Napoléon, qui interdit la castration. En 1989, dans le cadre de l'avant-projet de loi sur les sciences de la vie et les droits de l'homme, Guy Braibant fut le rapporteur sur le transsexualisme. De crainte d'un effet inflationniste de demandes de changement de sexe, par la mise en place d'une législation, il préfère octroyer tout pouvoir au corps médical.

A ce jour, il n'y a toujours pas de loi en France. La question reste cependant d'actualité : est-il nécessaire qu'une loi soit votée ? actuellement, le changement d'état civil est une procédure uniquement basé sur la jurisprudence et certains tribunaux continuent à rejeter les demandes. Il serait souhaitable qu'une loi soit élaborée de concert avec les intéressés. Beaucoup de transsexuels craignent en effet la mise en place d'une loi restrictive et abusive.

30. Pourquoi la France a-t-elle été condamnée par la Cour Européenne des Droits de l'Homme ?

NB, transsexuelle Homme/Femme, a 32 ans quand elle commence son hormonothérapie, et se fait opérer à 37 ans au Maroc. En 1978, elle dépose une assignation au Tribunal de Grande Instance pour obtenir la rectification de ses prénoms et de la mention du sexe sur son acte de naissance. Elle est déboutée après un an et demi d'attente. Quelques années plus tard, la Cour d'Appel de Bordeaux confirme le jugement sur la base de " …même après le traitement hormonal et l'intervention chirurgicale auxquels il s'était soumis, NB continuait de présenter les caractéristiques d'un sujet de sexe masculin " et que " son état actuel n'était pas le résultat d'éléments préexistants à l'opération et d'une intervention chirurgicale commandée par des nécessités thérapeutiques mais relevait d'une volonté délibérée du sujet ". En 1987, NB se pourvoit en Cassation qui rejette la demande de changement d'état civil parce qu'il ne résulterait pas de l'existence d'une cause étrangère à la volonté de l'intéressé. De plus en 1990, la notion de sexe génétique immuable rentre en ligne de compte : le transsexualisme, même lorsqu'il est médicalement reconnu, ne peut s'analyser en un véritable changement de sexe, le transsexuel bien qu'ayant perdu certains caractères de son sexe d'origine, n'ayant pas pour autant acquis ceux du sexe opposé…. Pour la Cour de Cassation, le sexe psychosocial n'existe pas. A cette époque, les transsexuels opérés, hormonés, menant une vie conforme à leur identité de genre ne peuvent obtenir leur changement d'état civil et doivent se contenter d'un changement de prénom.
Après l'examen de sa requête, la Commission Européenne retient sa demande en se référant aux articles 3 et 8 de la Convention. Le 25 mars 1992, la France est condamnée par la Cour Européenne des Droits de l'Homme pour non respect au droit à la vie privée - Article 8. Cela fait quatorze ans que NB essaie d'obtenir son changement d'état civil !

31. Les transsexuels sont-ils victimes de discriminations, d'inégalités, d'injustices ?

Les discriminations et injustices ne sont pas l'apanage des transsexuels, toutefois il faut constater que cette population fragile est fortement victime de l'ignorance et des préjugés. En 1989, le Parlement Européen vote une résolution " sur les discriminations dont sont victimes les transsexuels ". L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe prend une recommandation 1117 relative à la condition des transsexuels.
Le milieu associatif constate qu'un nombre important de personnes transsexuelles est victime d'employeurs qui exploitent leur difficulté à trouver un travail. Bien qu'averti, l'employeur n'hésite pas à licencier abusivement la personne lorsqu'elle commence à changer physiquement.
Les agressions dans la rue sont monnaie courante, que l'on ne peut hélas que constater.
L'obtention de papiers d'état civil provisoires éviterait les problèmes liés aux documents d'état civil non conforme à l'apparence. C'est ainsi qu'une carte de sécurité sociale avec un numéro provisoire permettrait au transsexuel de trouver un travail sans devoir dévoiler un aspect de sa vie privée. Une Carte Nationale d'Identité toute aussi provisoire permettrait d'aller prendre un recommandé à la poste, de passer une frontière sans craindre des problèmes potentiels, etc. la liste est longue… Toutes ces inégalités font que les transsexuels ne sont pas être des citoyens comme les autres, par exemple ils ne peuvent exercer leur droit de vote sauf à accepter d'entendre le Maire énoncer leur identité de naissance à haute voie.
L'injustice est le sentiment le plus violent vécu par les transsexuels. Injustice d'être né dans le mauvais corps, injustice d'être souvent incompris, injustice de ne pas être aidé au niveau médical et au niveau administratif. La lenteur et le coût du changement d'état civil, le financement des interventions chirurgicales et des expertises médicales, la difficulté de trouver un logement avec des papiers non conformes… Tous ces cumuls provoquent un sentiment légitime d'injustice, d'une marginalisation provoquée par ces inégalités.

32. Peut-on être licencié pour cause de transsexualisme ?

En 1979, le Sénateur Caillavet interpellait le ministre de la Justice sur les discriminations dont les transsexuels sont victimes " … Toute embauche devient impossible pour des transsexuels dès l'instant qu'ils présentent leur carte de sécurité sociale ou leur numéro d'identification nationale ou qu'ils subissent les examens médicaux réglementaires ". Au niveau de la législation française, deux articles du Code pénal peuvent être utilisés pour les protéger, l'article 416-1 ainsi que L. 122-45 qui " interdit tout licenciement en raison des mœurs, du sexe du salarié ". Ils doivent se battre de toute part et souvent ne connaissent pas leurs droits. L'accès et le maintien à l'emploi sont précaires pour les transsexuels surtout au moment de la phase de transformation, comme le confirme le cas exemplaire ci-dessous.
En 1996, la Cour de Justice a été interrogée par un Juge National, à la suite du dépôt de plainte d'une transsexuelle britannique auprès du tribunal du travail. Celle-ci avait été recrutée en tant que gestionnaire par un établissement d'Enseignement Professionnel et avait informé, un an plus tôt, le directeur de sa démarche transsexuelle. Contrairement à l'attitude tolérante de ce dernier, le Conseil d'Administration décida de la licencier. Elle présente alors un recours auprès du Tribunal du travail alléguant qu'il s'agissait de discrimination sexuelle.
La Cour de Justice appliqua la directive 76/207 sur l'égalité de traitement entre hommes et femmes dans un sens large. L'interdiction de toute discrimination sexuelle englobait de ce fait les transsexuels même si elle ne les visait pas expressément. Notant que cette directive n'était que le reflet du principe d'égalité, qui est l'un des principes fondamentaux de la personne humaine, la Cour a estimé que le licenciement d'une transsexuelle pour des motifs uniquement liés à son changement de sexe était contraire à la directive.

http://www.caritig.org/

 

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

Bukkake (du japonais ぶっかけ) est une pratique sexuelle de groupe dans laquelle un groupe d'hommes éjaculent tour à tour sur une personne (homme ou femme), de préférence sur le visage. Les films fétichistes de "bukkake forcé" sont célèbres au Japon. La situation typique implique une écolière naïve en uniforme, ou une timide secrétaire, se retrouvant attachée et aspergée de sperme contre son gré. Des hommes (parfois plus d'une douzaine) s'approchent d'elle un à un et se masturbent jusqu'à éjaculer sur son corps (la plupart du temps sur son visage, et en particulier sa bouche). La "victime" garde le sperme sur elle alors que l'homme suivant se présente et répète le même scénario. On peut souvent voir à l'arrière plan des hommes qui attendent leur tour en se masturbant. Généralement, à la fin de la scène, la personne avale tout le sperme qu'elle a reçu. Une variante consiste à recueillir le sperme de plusieurs hommes dans un récipient, afin que la personne le boive ensuite.

Historique

Le Bukkake a été popularisé dans les médias pour adultes japonais, par des entreprises de vidéos telles que Shuttle Japan, Soft on Demand et Moodyz dans la première moitié des années 1990. Certains pensent qu'un des facteurs du développement des bukkakes est le fait que le paysage pornographique japonais soit très restreint : les réalisateurs n'ayant pas le droit de montrer les organes génitaux sans filtre de censure, ils ont dû inventer des approches du sexe à la fois nouvelles et attirantes afin de satisfaire leur public sans violer la loi japonaise.

D'après la légende, cette pratique sexuelle proviendrait d'une ancienne coutume japonaise où la punition d'une femme adultère consistait à attacher celle-ci à un poteau au centre du village, et tous les hommes pouvaient venir se masturber et l'asperger. Il n'y a cependant aucune preuve que cette coutume ait réellement existé, et il est possible qu'elle ait été inventée dans le seul but de trouver un historique "croustillant" aux films de bukkake.

Il y a quelque temps, le bukkake est apparu dans la pornographie occidentale, mais sans le côté organisé et cérémoniel de sa version japonaise. En Europe, le label allemand GGG (German Goo Girls), éditée par John Tompson, a eu du succès sur ce thème, bien qu'on n'y retrouve ni l'humiliation de la femme (au contraire, la femme est visiblement consentante), ni les uniformes ; alors que le côté pratique sexuelle "hardcore" de groupe est mis en avant.

Étymologie

"Bukkake" est la racine d'un verbe japonais, qui utilisé seul signifie éclabousser. Le verbe bukkakeru (éclabousser d'eau) peut être décomposé en deux verbes : butsu (ぶつ) et kakeru (掛ける). Littéralement, Butsu signifie frapper, mais dans le cas présent, il s'agit plutôt d'un préfixe augmentatif que l'on retrouve dans buttamageru (ぶったまげる, "complètement choqué") ou butchigiri (ぶっちぎり, "victoire écrasante"). Kakeru désigne l'action de verser.

"Bukkake" est le plus souvent utilisé en japonais pour désigner un type de plats où l'on verse l'accompagnement sur des nouilles (bukkake-udon et bukkake-soba, par exemple).

Gokkun

Il existe une variante du bukkake, le gokkun. Il s'agit d'une onomatopée, qui se traduirait en français par "slurp", c'est-à-dire le bruit que l'on fait en avalant. Dans l'industrie pornographique japonaise, ce terme fait référence au fait d'avaler du sperme, ce qui constitue une variante de bukkake dans le sens où les hommes éjaculent systématiquement dans la bouche de la personne, qui avale ensuite tout le sperme.

http://fr.wikipedia.org/

http://www.germangoogirls.com

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

URO

L' ondinisme (ou urolagnie) est une paraphilie caractérisée par une forte excitation érotique éprouvée en buvant (ou faisant boire), ou en se recouvrant le corps (ou recouvrant le corps de son partenaire) d'urine. Chez certaines personnes, cette pratique est liée au BDSM. Une variante de cette pratique consiste à uriner dans ses sous-vêtements et ses vêtements, parfois en public.

Cette pratique est également connue sous le diminutif de "douche dorée".

Elle est généralement considérée comme sans risques, l'urine étant stérile chez les gens sains. Cependant il existe des risques en cas de maladie, notamment d'urétrite. D'autres effets secondaires comme des éruptions cutanées peuvent apparaître chez les peaux sensibles à l'urine.

L'étymologie fait référence aux ondines, nymphes des eaux dans la mythologie germanique.

Autres pratiques

Certaines personnes boivent de grandes quantités de leur propre urine, dans un but thérapeutique (médecine parallèle: Amaroli). Cela n'est pas considéré comme de l'ondinisme.

Chez les autres mammifères

Avant l'accouplement, les porcs-épics mâles urinent sur les pics des femelles afin d'en atténuer leurs effets.

Les éléphants mâles s'urinent dessus et se roulent dans un mélange de boue et d'urine pour séduire les femelles.

http://en.wikipedia.fr/

http://www.gaypisse.com/

http://www.gggsexbox.com/tms/?nats=NDMxNjoxNjoxOA,0,0,0,0 

ps:public averti!!!!!!

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

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Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 00:00

Le BDSM, acronyme de Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sado-Masochisme, est un ensemble de pratiques sexuelles marginales, fondées sur une relation consentante de dominant à dominé. Cette domination pouvant s'exercer de façon psychologique et/ou par le biais de contraintes physiques. On parle aussi en termes plus modernes de « jeux d'échanges de pouvoir ». Les pratiques BDSM peuvent avoir lieu dans un couple, mais aussi entre groupes de plusieurs dominés et dominants.

Elles sont de deux types : domination, entrave, pour le premier type, et parfois, en plus, lorsque la douleur et l'humiliation interviennent, elles entrent dans le deuxième type.

Les partenaires pratiquent ces jeux afin d'obtenir par l'exacerbation de leurs sens et de leurs fantasmes un plaisir sexuel plus intense. Mais, dans certains cas, anaphrodisie, il ne s'agit que de parvenir à une ébauche de plaisir sexuel.

Pour certains, ce plaisir sexuel se double d'une décharge d'endorphine : la douleur provoque la sécrétion de cette morphine naturelle, qui peut plonger le sujet dans un état d'euphorie. D'autres font appel à des « adjuvants » (alcool, « toniques » divers, voire drogues).

On peut rencontrer, dans les pratiques BDSM :

Et plus rarement :

  • Des humiliations faites (entartage, arrosage d'eau froide, tonte et rasage des aisselles, du corps, du pubis, des cheveux)
  • Des coups, qui sont parfois pratiqués (fouet, fessée), de la brûlure à la cire de bougie, ...
  • Diffusion des séances en vidéo sur Internet.

Santé et sécurité

Certaines de ces pratiques peuvent, lorsqu'elles se font sans la connaissance des limites des participants, êtres dangereuses, telles que le fouet, les aiguilles, la cire chaude, etc. Elles peuvent provoquer des blessures allant parfois jusqu'à l'éborgnement, des brûlures, des coupures et peuvent devenir des risques d'infections ou de transmission de maladies (VIH, hépatites B et C...). Cependant, il faut souligner que ces blessures surviennent rarement dans les scénarios de domination. Une bonne entente entre les participants est de ce fait primordiale.

Il est à noter que la cire chaude est une pratique courante dans le BDSM. Toutefois, ce sont généralement des cires blanches, ou des cires colorées spéciales qui fondent à basse température qui sont employées. Tout comme les menottes sont pour la plupart dotées de renforts afin de protéger les poignets.

Il peut être sécurisant de filmer la scène. Cela permet de montrer dès le début, par un enregistrement, la pleine et entière volonté de la pratique par les participants. De plus, en cas d'abus, un recours à la video permet de voir qui a fauté, quelles règles n'ont pas été respectées.

Quoi qu'il en soit, la pratique du BDSM — comme toute pratique sexuelle — ne dispense ni ne remplace les sentiments des partenaires l'un envers l'autre. Il n'existe pas de "code" à respecter pour "être" ou non BDSM, seule la confiance mutuelle des partenaires, et les sentiments qu'ils se vouent mutuellement en définissent le cadre.

Safeword, ou code de sécurité

Le safeword est un signal d’urgence, le « pouce ! On arrête ! » du jeu BDSM qui, utilisé par la personne qui se soumet, indique au partenaire qu’il doit immédiatement et sans discussion interrompre l’action en cours, et la délivrer de toutes contraintes éventuelles aussi rapidement et prudemment que possible.

En substitut de l’anglophone safeword est parfois proposé le plus francophone veto, qui était, dans la Rome antique, la formule utilisée par les tribuns du peuple pour s’opposer aux décrets du Sénat.
Le "droit de veto", dans le BDSM, désigne l’éventuelle possibilité de refus catégorique que peut opposer la personne qui se fait dominer envers une action qui lui déplaît, et ne doit pas, en ce sens, être confondu avec le code de sécurité – destiné, lui, à alerter le partenaire d’un danger potentiel dont il n’aurait pas conscience.
Certaines personnes choisissent d’abolir le safeword dans leurs jeux, en omettant trop souvent la distinction qui existe entre droit de veto et code de sécurité… le principe revenant alors, pêle-mêle, à priver les tribuns de crier aussi bien « Veto ! » en cas de désaccord, qu’« au feu ! » lorsqu’ils voient un incendie menacer de ravager le sénat…

Dans un souci d’éviter toute confusion avec d’éventuelles suppliques qui seraient simulées dans le cadre du jeu SM, les partenaires conviennent en général d’un « mot magique » qui sera sans ambigüité reconnu en tant que safeword verbal. « Stop ! », par exemple. Ou « safeword ! », « pouce ! », « veto ! », « pitié », ou tout bonnement le prénom de la personne dominante, qui appelle rapidement à l’abandon des rôles incarnés, ou bien encore une codification par couleurs inspirée des feux rouges.
Quant aux safewords non verbaux, rendus nécessaires par l’usage des bâillons, une pratique couramment répandue consiste, pour celui qui domine, à placer un trousseau de clés dans la main de la personne qu’il prive de la parole : que celle-ci le laisse tomber à terre, et l’alerte d’urgence sera implicitement donnée – ou le droit de veto invoqué.

Code de sécurité ou droit de veto, le safeword est toujours à considérer comme appelant une réaction de la plus haute urgence, quelle que soit la situation, et aussi anodine puisse-t-elle paraître aux yeux de celui qui contrôle les événements.

Respect

Il est très important, pour les deux partenaires (dominant et dominé) de toujours conserver à l'esprit le confort du partenaire dominé. On peut, par exemple, envisager la rédaction d'un contrat entre les deux partenaires afin d'établir clairement les limites à ne pas dépasser.

Citation

Dans Pop model, les mémoires de Lio écrites avec Gilles Verlant on peut lire :

« Il existe des femmes qui aiment les rapports masos, ça les excite ; elles font très bien la différence entre l’acte sexuel, où elles apprécient certaines choses qui sont de l’ordre du lien, de la coercition, même accompagnée de fessée, de coups de cravache, dans le cadre d'un jeu librement consenti, et la violence conjugale qu’elles ne supportent absolument pas par ailleurs. 
http://en.wikipedia.fr/
http://www.safeboy.net/club/index.php?force_club=smboy
http://www.bdsmcircle.net/annonce.htm
http://bdsmpassions.free.fr/

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